Phoebe : « Ouvre ton esprit, rigole & observe l’univers »

Phoebe : « Ouvre ton esprit, rigole & observe l’univers »

Intergalactique Aliens Confederation - Photo by Phoebe

 

Le titre serait : « Viens visiter l’Univers-Terre

(Avec des aliens verts) ».

Partie deux & party-time

De suite, la suite...

Stoïk (le chat chaleureusement ironique

Un peu cynique mais surtout ataraxique) :

« Sur la Terre, c’est pas Gotham City mais c’est l’enfer !

Les mines et les industries ne sont pas en reste, c’est clair !

Avec les Humains, tout est question d’argent,

De temps, d’espace, d’apparence et de faux-semblant.

Argent facile, argent utile ;

C'est comme ça, c'est la loi !

Heureusement que t'as toujours tes dix doigts !

Argent crapuleux, argent dégueux.

En état de choc, comme c’est fabuleux !

Apparats, trucs, choses, bidules et breloques,

Formatés, les pauvres morveux, ils bloquent,

Crèvent la dalle avec un « smart » intelligent,

Je vous l’assure, foi de chat-chat, cela me choque !

Parfois cachent ce qu’ils sont superficiellement,

Et si tu sais lire dans les humains -yeux, ils sont à bloc !

Hélas, tu n’y verras que des têtes a-vides mais pleines de tocs ! »

 

Hydromax,

(L’alien(ne) de l’espace qui monte au créneau) :

« Attention, faut pas leur tourner l’dos,

Sinon ils te plantent un gros couteau,

Car pour eux, quand c’est chaud,

Ils deviennent des teigneux débonnaires

Et des geignards vengeurs patibulaires.

Quand ils ont la rage, tout cela devient outrage

Et ne sont plus du tout des sapiens-sages.

Les Humains deviennent des vipères têtues,

Des mégères bêcheuses & tordues,

Des vilaines sorcières aux nez pointus,

Des serpents tout gluants, des Humains pas marrants.

Des sapiens-teste-de-noeud, des Hominidés ennuyeux.

Mais le pire, c’est leur mauvaise foi,

Magnanimité & justice impartiale, je n’y crois pas ! »

 

L’extraterrestre Cécilus Martinus,

Honteuse de jouer le rôle d’une Hominidus-sapiensus :

« Les êtres humains en colère

Deviennent très vite et en un éclair

Des empoisonneurs cambrioleurs hors d’eux,

Des mafieux trop douteux, des tarés trop crasseux.

Des abonnés souscrivant la sale manie

Contrat signé, de la sale habitude aussi.

Des maniaques du vol et de la tricherie,

Des allumés hallucinés de la piraterie.

Donc, attention à toi et à tes popoches,

Etre humain, t'as pas changé, t'es toujours moche

Attention à toi, Ô grand voyageur intergalactique,

Aux ondes humaines-électrochocs inférieures, c'est pas pratique.

Sous l'égide de l'amitié, ni vus, ni connus, ils te trahiront et « hop » !

Si t’as pas le « hip » du fric, pour eux, tu ne seras qu'une grosse cloche !

Moi, qui cherche du travail, je t’assure, c’est encore plus moche !

Et même avec sagacité, si tu t’en étais prémuni(e),

Malheureusement, c’est quand même infidelity !

Des tarés du poker bluffé, des camés de la culpabilité.

Dans tous les cas, certains la rejetteront sur toi et ça fait chier !

Car parfois, ils ne savent absolument pas la gérer ! »

 

Séquence 1, Scène 2 : (Attention, la vérité est parfois dénouement !

Il faut donc arrêter de faire trop semblant !),

Me disent les didascalies, en Intérieur - Nuit.

Intitulée : « Et si t’as encore des doutes, j’t’en remets une couche !

De toute façon, estre humain, t’es louche ! »

 

Stoïk, (le chat magi-cosmique,

Sur un ton tragi-comique) :

« Car il est temps pour les sapiens coupables et niaiseux

De passer aux aveux dans une vieille cellule, c’est tout crasseux.

Ingratitude et désuétude sont dans leur attitude.

Sale caractère, ignorance et misère sont ici leurs critères !

Et c’est une certitude car j’en ai fait une étude :

« Des habitués de la confusion, de la manipulation et de la fausse chanson.

Des toxicos de la conscience « détranquillisée, désorganisée, désharmonisée »,

Aurait dit un « chatgent » secret, voire un détective « féli-privé ».

 

Hydromax, (l’alien(ne)-reporter de l’univers entier) :

« Dans l’espace, les ordures envoyé(es) & expédié(es),

En orbite & autour de la planète atterrée

En mal de reconnaissance & d'attention

Parfois hypocrites, parfois flatteurs, ils le sont !

Frustrés, jaloux & perturbés, c’est un fait.

Mauvaise foi n’est pas loi, ils sont plein de méfaits.

Et du dernier mot,  ils mentent & ils ont tout faux !

Hélas, ils ont oublié leur foi et jouent les fayots !

Ils ont perdu le bon sens et leur Voie ;

Religieux pédos, politico-criminels,

Faits divers, cas sociaux et estres corrompus

Lois cruelles, lois industrielles, « come from the Hell ! »

Turlututu-chapeau-pointu, estre humain, t'es tout perdu !

Nerveux & susceptibles, suicidaires ou traumatisés,

Caca dans les yeux, ils ne savent que t’embrouiller

Dès que t’as une nouvelle idée !

Protocolaires & ennuyeux par tant de papiers volés,

Corrompus & revendus, mais surtout certifiés falsifiés !

Mais où est passée l'humanité sur la planète bleutée ! »

 

Cécilus Martinus,

Extraterrus de la Galaxus Andromedus :

« Avec les Humains, les autres ont toujours bon dos,

En cela, ce n’est jamais beau.

Amis « bonnes poires » & potes « boucs émissaires »,

C’est ce qui leur est nécessaire.

Ils se targuent d’être méchants, je n’aurais pu l’oublier !

Surtout phobiques, la peur au gland et la trouille incarnée

Parce que j’ai pu constater, parce que j’ai pu observer.

Et au plus près de la réalité, au plus près de la neutralité !

Jamais rien critiqué jamais rien jugé, jamais rien reproché. »

 

La scénariste (très inspirée,

Avec un fort accent du sud français) :

« Peuchère ! Rajoute une autre couche et je te touche !

Quand tu ouvres la bouche, tu prends une douche ! 

De mon épée indescriptible, invulnérable et bien acérée,

Sur mon script, des mots bien compris, des mots bien placés ! »

 

Séquence 1, Scène 3 : intitulée : « Conclusion :

La fin en chanson ! »

 

Hydromax, le/la pseud'eau menace de l’espace

Sa vibe & son flow sont dans la place :

« Mais est-ce la Happy end qui pointe le bout de son nez ?

Pour cette série spatio-réchauffée,

Clichée & stéréotypée, quel problème, mais c'est pourtant vrai !

Et c’est ainsi, que Jean qui rie & Jean qui pète,

S’en vont faire la fête, au rave-bal-musette,

Sur de nouvelles extra & exo-planètes, c'est chouette !

Pour se retrouver dans la merde & le caca, mais aussi dans la joie,

Munis d’un bonheur illusoire & d’une certaine mauvaise foi ;

Sur la planète Mars, pour former des couples heureux,

Nourriture & eau deviendront des trucs très onéreux.

Au sein d’un monde rouge merveilleux et fabuleux mais rocailleux,

Où il faudra creuser comme des esclaves en combi-bleues !

Où le bonheur se fera sous un scaphandre,

T’inquiète quéquette, j’ai appris la technique martiale du scolopendre.

Où les mensonges & les menteries se feront vérités,

Mais pour connaître la vraie, il faudra payer, il faudra banquer !

Et où le spatio-vol se fera charité mais la loi sera oubliée.

Et pour couronner le tout, ça sera la cerise sur l'sundae ! »

 

Le synopsis : Dans un Space-Opera, sans vaisseau spatial,

Mais un triste constat, un dossier froid et glacial

D’une planète épouvantable et archaïque,

Drôlatique, anarchique mais surtout chaotique.

Tourné à mi-chemin, entre la Terre et la Lune,

Avec des extraterrestres qui ne cherchent pas de tune !

 

Commentaires interceptés,

Par des aliens de dessins animés :

Un lecteur : « Oh ! Des personnages réalistes et véridiques,

Comme c’est magique et fantastique ! »

Un autre lecteur : « Ne les trouvez-vous pas plutôt « surréalistiques » ? »

 

La note d’intention et c'est très important :

Prévenir les Extraterrestres-Nations,

Protéger honnêtement les Univers-Constitutions,

Les inviter à faire encore plus attention,

Avertir les individus et les gens

Et les inviter à être extrêmement vigilants.

 

Un professionnel averti du cinéma :

« Attention, proxénète n’est pas prophète,

Restons honnêtes et arrêtons d’être bêtes ! »

 

« La fin comme moyen, très souvent, c’est bien »,

Signé Stoïk, le chat spatio-intemporel et inter-galactique. Fin.

 

Alien Evolution - Photo by Phoebe

 

A SUIVRE : HALLUCINATIONS CINEMATOGRAPHIQUES # 11 : Mais qui est l’artiste invitée ? Conclusion bien méritée. Entrevue de Phoebe by DJ Miss Phoebe.

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