CHRONIQUES TERRIENNES : LE MONOLITHE D'AMBIALET - 18 décembre 2020 - Partie 2
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LES INONDATIONS EN FRANCE
En France, l'inondation est considérée comme un aléa naturel défini par une submersion temporaire et naturelle d’un espace faisant partie du territoire français par de l’eau liquide. C’est un phénomène qui est susceptible de générer des impacts sur l’environnement, les personnes et les biens, dont le patrimoine culturel et l’économie.
Le risque associé à ces inondations est classé dans les risques majeurs naturels. C’est envisager la possibilité qu’un événement de ce type puisse se produire.
Les inondations résultant de la rupture d’un barrage ou d’une digue sont en revanche classées dans la catégorie des risques technologiques, résultat de la défaillance d’un ouvrage construits par l’être humain.
Le risque d'inondation fait l'objet d'un suivi continu, d'un cadre réglementaire de prévention et d'une information de la population. Une organisation des secours a par ailleurs été mise en place pour faire face à d'éventuelles catastrophes.
Les inondations d'origine climatique non pluviométrique peuvent être liées à la fonte des neiges ou aux marées de tempêtes (confère submersion marine).
Les inondations d'origine non climatique, liées par exemple à des phénomènes comme les tsunamis, les éruptions volcaniques sous-glaciaire ne concernent pas la France.
Typologie des inondations
Les inondations en France sont classées par nature et phénomènes générateurs, éléments qui définissent leurs caractéristiques :
- L’inondation de plaine est générée par le débordement d’un cours d’eau.
- L’inondation par remontée de nappe est causée par un affleurement puis par le débordement de la nappe phréatique.
- L’inondation rapide ou crue torrentielle est le résultat de la formation rapide d’une crue torrentielle consécutives à de violentes averses.
- L’inondation par ruissellement pluvial urbain est engendrée par des crues rapides des bassins périurbains à la suite d’importantes précipitations.
- La submersion marine est la conséquence de l’élévation du niveau de la mer.
Quelques exemples d’événements (antérieurs à 2000)
Le 3 mars 1930, une crue du Tarn inonde de nombreuses villes, notamment Moissac et Montauban.
En 1940, de violentes précipitations engendrent le débordement de plusieurs cours d’eau et provoquent des inondations dans les Pyrénées-Orientales.
Le 21 septembre 1980, sur le haut bassin de la Loire, des précipitations exceptionnelles génèrent des inondations, notamment à Brives-Charansac, dévastant la vieille ville et la zone industrielle ainsi que le pont Coubon dans une commune voisine.
Le 14 juillet 1987, de violents orages provoquent le débordement du Borne en Haute-Savoie.
Les 21 et 22 septembre 1992, l’Ouvèze déborde et génère une inondation dans la ville de Vaison-la-Romaine dans le département du Vaucluse.
En novembre 1999, plusieurs fleuves du midi méditerranéen débordent et provoquent de nombreuses inondations.
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LA COMMUNE FRANÇAISE D’AMBIALET
Ambialet est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie. La ville se situe dans le Ségala, région naturelle de France constituée de collines et de monts appelés « puèg » ou « puech », de longs plateaux morcelés et d’étroites vallées, dans les départements du Tarn et de l’Aveyron.
Ambialet fait partie de la région climatique Sud-Est du Massif central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1000 mm (en été) à 1500 mm (en hiver). Exposée à un climat océanique altéré, la ville est drainée par le Tarn, le ruisseau d’Aygou, le ruisseau de Blasou, le ruisseau de la Broncarié, le ruisseau de Cézens, le ruisseau de Lagouste et par divers autres petits cours d'eau. La caractéristique du site est que l’un des méandres du Tarn enlace la presqu’île d’Ambialet, sur laquelle est bâti le bourg.
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La commune d’Ambialet est exposée à de nombreux risques : majeurs, naturels et technologiques.
Comme les monolithes d’Exireuil, d’Oudehorne et de Baasrode, le monolithe d’Ambialet suggère d’explorer le sujet…
Risques majeurs
Le territoire de la commune d’Ambialet est vulnérable. Les risques majeurs de la commune d’Ambialet, située en région Occitanie, sont :
- Inondations
- Feux de forêts
- Risques climatiques et météorologiques (tempête, orage, pluie, neige)
- Risque canicule et sècheresse
- Risque grand froid
- Risque transport de matières dangereuses
- Risque retrait et gonflement des argiles
- Mouvement de terrain et séisme (sismicité très faible)
- Risque particulier
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Risques naturels
Certaines parties du territoire communal d’Ambialet sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d’eau, notamment :
- Le Tarn
- Le ruisseau de Blasou
- Le ruisseau de la Broncarié
- Le ruisseau d’Aygou
En 1982, 1994, 1996, 2003 et 2014, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle à la suite d’inondations et de coulées de boue qui ont causé de nombreux dommages.
Ambialet est une zone forestière qui est exposée au risque de feu de forêt.
La commune est également vulnérable au risque de mouvements de terrains provoqué par le retrait-gonflement des sols argileux. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dégâts importants en cas d’alternance de périodes de sècheresse et de pluie.
Comme les monolithes d’Exireuil, de Baasrode et de Varsovie, le monolithe d’Ambialet suggère d’explorer la volcanologie.
BRÈVE HISTOIRE DE LA VOLCANOLOGIE
En Europe, dans l’Antiquité gréco-romaine, les volcans et les éruptions volcaniques sont liées à des manifestations divines. Il en était de même dans le christianisme qui attribuait ces mêmes éruptions à la colère divine.
En 79, Pline l’Ancien, écrivain et naturaliste romain, décrivit le début de l’éruption du Vésuve et nota que des séismes avaient précédé le début de l’événement volcanique. Son neveu Pline le Jeune fit une description précise de cette éruption.
De nombreuses théories voient le jour durant la Renaissance, mais elles doivent être approuvées par l’Église catholique sous peine d’être discréditées.
Georgius Agricola, savant allemand du 16ème siècle, propose que les éruptions soient provoquées par de la vapeur d’eau sous pression. Johannes Kepler, astronome allemand, considère les volcans comme des conduits rejetant les larmes et les déchets de la Terre.
De nombreuses théories associent l'eau au volcanisme. Les seuls volcans connus à l'époque se situent à proximité de la mer.
Au 18ème siècle, une première démarche scientifique d’explications sur le volcanisme est faite grâce à des observations sur le Vésuve.
Au 19ème siècle, le Vésuve est le volcan le plus étudié. Naturalistes, géographes et autres explorateurs se mettent à observer d’autres volcans tel que :
- Le Piton de la Fournaise, volcan actif situé sur l’île de la Réunion dans l'océan Indien, 2632 mètres d’altitude ;
- Le Guagua Pichincha, volcan situé près de Quito, capitale de l’Équateur, 4776 mètres ;
- Le Chimborazo, volcan également situé en Équateur et culminant à 6263 mètres ;
- L’archipel de Santorin, qui est un ensemble d’îles volcaniques, situé en mer Égée.
Devant l’activité régulière du Vésuve, un observatoire volcanologique est construit en 1841 sur les pentes du volcan et des sismographes y sont installés.
En 1883, l’éruption du Krakatoa, volcan actif situé sur la ceinture de feu du Pacifique (dernière éruption du 25 mai 2021 au 20 décembre 2023), permet d’effectuer des analyses plus approfondies. Les résultats renvoient à l’éruption du Tambora qui s’est produite en 1815, volcan actif culminant à 2850 mètres d’altitude, situé en Indonésie.
En 1902, l’éruption de la montagne Pelée, volcan situé sur l’île de la Martinique ayant détruit la ville de Saint-Pierre, permet de publier un ouvrage sur la volcanologie qui fait référence encore aujourd’hui.
En 1912, un astronome et météorologue allemand propose la théorie de la dérive des continents qui est rejetée. Cette théorie débouche sur celle de la tectonique des plaques qui permet d’expliquer l’activité volcanique. La théorie de la tectonique des plaques révolutionne la perception du volcanisme car elle permet d’unifier la majorité des phénomènes géophysiques. Les chaînes de montagne, les volcans et les séismes sont intimement liés. Les recherches et avancées en sismologie profitent à la volcanologie.
Au 20ème siècle, Haroun Tazieff, volcanologue, spéléologue et écrivain, explore les volcans du monde entier. Il insiste sur le rôle des gaz dans le volcanisme et constitue un précurseur concernant la vulgarisation scientifique dans le domaine du volcanisme.
La volcanologie a pour objectif de comprendre l’origine et le fonctionnement des volcans et des phénomènes assimilés, afin d’établir un diagnostic sur les risques et les dangers encourus par les populations et les activités humaines.
VOLCANOLOGIE : CLASSIFICATION DES VOLCANS
Un volcan est une structure géologique qui résulte de la montée du magma puis d’une éruption de matériaux, à la surface de la terre ou sous la mer. Il existe 1432 volcans actifs dans le monde mais seule une soixantaine sont en éruption continue.
La classification des volcans engendre des exceptions et des intermédiaires ; la plus courante est celle qui répertorie les volcans selon la morphologie, la structure et parfois le type d’éruption.
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Les éruptions volcaniques notables
Éruption volcanique de l’Eyjafjallajökull du 20 mars au 27 octobre 2010
L’Eyjafjöll, qui signifie « les montagnes des îles », est un massif volcanique culminant à 1666 mètres d’altitude, recouvert d’une calotte glaciaire nommée Eyjafjallajökull, situé au sud de l’Islande. « Eyjafjallajökull » désigne à la fois la calotte glaciaire et le volcan Eyjafjöll.
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Une première phase éruptive s’est déroulée ente le 4 mars et le 13 avril 2020. Plusieurs séismes, enregistrés au 4 mars 2010, ont causé des déformations du volcan. Une fissure éruptive longue de 300 à 500 mètres s’est formée son flanc, à 1000 mètres d’altitude au nord du col Fimmvörðuháls, qui sépare les deux calottes glaciaires, Eyjafjallajökull et Mýrdalsjökull, littéralement « le glacier de la vallée du marais ».
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L'Eyjafjallajökull, signifie « le glacier sur les montagnes proches des îles », est une calotte glaciaire située sur le stratovolcan l’Eyjafjöll, au sud de l’Islande.
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Au total, il s’est formé une douzaine de fontaines de lave crachant à plus d’une centaine de mètres de hauteur. Ces fontaines ont engendré des petites coulées qui se sont ensuite dirigées vers le nord. Cette première phase cesse au 13 avril 2010.
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Un trémor s’est déclenché quelques minutes avant la sortie de la lave. Un trémor est un séisme d’origine volcanique provoqué par la remontée du magma dans la cheminée volcanique. Le 20 mars 2010 débute ainsi la cinquième éruption du volcan Eyjafjallajökull.
Le 14 avril 2010, un deuxième épisode éruptif se déclenche dans la caldeira recouverte par l’Eyjafjallajökull. L’éruption est sous-glaciaire et engendre des explosions phréatiques qui percent la calotte glaciaire. Un important panache ainsi que des cendres volcaniques se sont formés et se sont dirigés vers l’Europe continentale, poussés par les vents.
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Fin avril, l’intensité de l’éruption s’est affaiblie. Le volcan a continué une activité irrégulière jusqu’à la fin de l’éruption enregistrée le 27 octobre 2010.
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Éruption volcanique du Hunga Tonga, le 14 et 15 janvier 2022
Hunga Tonga est un volcan sous-marin actif, situé dans le royaume des Tonga. Les îles Hunga Tonga et Hunga Ha’apai sont reliées par un isthme, conséquence de l’éruption volcanique qui s’est déclenchée en 2015. Cet isthme sera détruit par l’éruption de 2022. Ce volcan fait partie de l’arc volcanique Tonga-Kermadec.
L’éruption du volcan Hunga Tonga-Hunga Ha'apai en 2022 est l'une des plus puissantes jamais enregistrées.
Les premiers signes de cette éruption volcanique majeure ont été des nuages de cendres montant jusqu’à 20 km d’altitude. Une alerte au tsunami fut lancée par les Tonga. Près du volcan, il a été observé des explosions ainsi qu’une colonne de cendres de 5 km de large.
Une phase éruptive beaucoup plus importante et explosive se produit le 15 janvier et un nouveau panache de cendres est propulsé dans la stratosphère à 15 km d’altitude. Le 16 janvier, une partie du matériel volcanique du nuage atteint l’altitude de 31 km. Selon les données satellites, le panache s’est élevé à 57 km de haut.
Les cendres issues de l'éruption touchent terre sur l'île principale de Tongatapu, masquant le soleil.
De fortes explosions sont entendues à Nuku’alofa, capitale des Tonga, situé à 65 km du volcan. Des petites pierres et des cendres tombaient du ciel. L’explosion est entendue jusqu’aux îles Samoa, situées à 840 km du lieu de l’éruption. Aux îles Fidji, des sons s’apparentant à des coups de tonnerre se sont fait entendre. Des détonations se seraient même fait entendre en Nouvelle-Zélande et dans le Yukon, au Canada.
Pendant l’éruption, une intense activité électrique a été enregistrée. La présence de la foudre a engendré plusieurs centaines de milliers d’éclairs, enregistrés au cours des deux semaines précédant l’événement éruptif. L’explosion du volcan a détruit 90% de l’île Hunga Tonga Ha’apai. Cette éruption a généré une onde de choc atmosphérique qui a fait plusieurs fois le tour de la planète. Elle a également généré des ondes sismiques.
Alerte aux tsunamis
Les ondes sismiques et les effets de l’explosion volcanique ont généré un tsunami dans les îles les plus proches mais également, un peu partout dans le Pacifique :
Nukuʻalofa, capitale des Tonga, a été frappée par un séisme ainsi que par un tsunami qui a été généré par l'éruption quinze minutes plus tard.
En Amérique du Nord, les côtes de la Californie et de l’Alaska furent frappées par un tsunami.
En Mésoamérique, ce sont les côtes du Mexique qui furent touchées. Les États de Guerrero, de Colima et de la péninsule de la Basse Californie constatèrent une élévation du niveau de la mer avec une marée haute.
En Amérique du Sud, le long des côtes du Pérou, le tsunami a engendré de nombreux dégâts. Une raffinerie de pétrole a été frappée par une forte houle engendrant une importante marée noire. Des vagues ont également touché le nord du Chili.
En Asie, l’archipel du Japon, notamment la côte pacifique de l’île Hokkaidō a été impactée. Les îles Kourites en Russie ont été touchées par des vagues de tsunami d'environ 20 cm.
L’Océanie n’a pas été épargnée par les nombreux tsunamis générés par cette éruption :
- Les îles Fidji
- Les îles Lau, les îles de Moce, Moala, Kadavu et Taveuni
- Les îles Samoa américaines
- A Wallis-et-Futuna
- Plusieurs îles du Vanuatu
- A Hanalei et à Hawaï
- En Nouvelle-Zélande
- L’île de la Grande Barrière
- Le long de la côte Est de l’Australie
- L’île de Norfolk, l’île Lord Howe
- En Tasmanie
ORIGINE DU VOLCANISME
Le volcanisme est intimement lié aux mouvements des plaques tectoniques. Dans le rift des dorsales, l'écartement de deux plaques tectoniques amincit la lithosphère, entraînant une remontée de roches du manteau. Ces roches volcaniques constituent ainsi une partie de la croûte océanique. C’est ce que l’on appelle un volcanisme de divergence.
La lithosphère est l'enveloppe rigide de la surface de la Terre. Elle comprend la croûte terrestre et une partie du manteau supérieur. Elle est divisée en plaques tectoniques ou plaques lithosphériques.
Un rift est un fossé d’effondrement localisé le long d’une fracture de l’écorce terrestre. Il existe le rift continental, siège de séismes et d’une activité volcanique plus ou moins forte et le rift océanique présent sur l’axe des dorsales.
Lorsque deux plaques tectoniques se chevauchent, la lithosphère océanique glisse sous une autre lithosphère océanique ou continentale. Ce qui fait remonter le magma qui traverse la lithosphère : c’est le phénomène qui engendre les volcans.
Si la lithosphère chevauchante est océanique, un arc volcanique se formera dans l’océan et donnera naissance à des îles (Japon, Antilles, îles Aléoutiennes).
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Si la lithosphère chevauchante est continentale, les volcans se situeront sur le continent au sein d’une chaîne de montagnes. C’est ce que l’on appelle un volcanisme de subduction. On retrouve ce genre de volcans dans la cordillère des Andes en Amérique du Sud ou dans la chaîne des Cascades. La chaîne des Cascades est une chaîne de montagnes qui longe la côte ouest de l’Amérique du Nord, entre les États de Californie, de l’Oregon et de Washington aux États-Unis et la province de la Colombie-Britannique au Canada.
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Les volcans de point chaud sont des panaches de magma provenant du manteau qui percent les plaques lithosphériques. Les points chauds sont fixes pendant que les plaques tectoniques continuent de bouger sur le manteau, ce qui crée successivement une chaîne de volcans.
Lorsque le point chaud se situe sous l’océan, il engendre alors des chaînes d’îles comme l’archipel d’Hawaï dans l’océan Pacifique et celui des Mascareignes dans l’océan Indien. Si le point chaud se situe sous le continent, il engendre des chaînes de montagnes volcaniques. C’est ce que l’on appelle un volcanisme de point chaud.
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Le monolithe d’Ambialet suggère d’explorer l’Océanie, ses mythologies ainsi que les mythes liés aux volcans. Néanmoins, il peut générer plusieurs chemins de pensée et de connaissances.
A SUIVRE : Monolithe d’Ambialet : L'Océanie
Sources, cartes et photos : Wikipédia - Merci et Gratitude