Une brève histoire de sorcières

Origine et étymologie

"Sorcellerie" se dit wiccacraeft en vieil anglais (witchcraft en anglais moderne). Wicca signifie "sorcier", wicce "sorcière" dont le pluriel est wiccan. Le verbe wiccian signifie "ensorceler/pratiquer la magie".

Pour certains adeptes initiateurs du mouvement wiccan, ce terme signifierait "l'art des sages". Selon les écrits de l'ethnologue Margaret Murray dans l'édition de 1957 de l'Encyclopaedia Britannica, la signification du mot sorcière (witch) est liée à celle du mot savoir (wit). Etymologiquement, le mot wizard veut dire "celui qui sait" et signifie aujourd'hui sorcier/magicien, qui tire son origine de l'anglais ancien wys/wis, signifiant "sage", à rapprocher du terme wise, qui veut dire "sage", issue de la même racine que le mot allemand wissen, qui signifie "savoir".

D'autres étymologies accolent les origines du terme au culte d'Hécate dans la Grèce antique ou rattachent le mot wicca à l'indo-européen wic/weik, termes qui signifient "soumettre" et "changer".

Une sorcière serait donc une femme habile à imaginer, à soumettre et à changer la réalité.

En général, la société judéo-chrétienne ainsi que l'inconscient collectif occidental, considère la fée et la magicienne comme étant un personnage positif, qui s'oppose à la vilaine et méchante sorcière, image stéréotypée, clichée et caricaturale de la vieille mégère sur son balai. La sorcellerie présente un énorme avantage : puisque tout y devient possible, même le plus invraisemblable, on peut tout en dire et n'importe quoi ! Parce que la sorcière semble échapper à tout discours scientifique, elle est alors renvoyée au monde obscur des sombres superstitions moyenâgeuses.

Néanmoins, il existe un riche folklore (littéralement, "savoir du peuple") qui permettra d'apprendre au passage que la Bretagne et l'Ecosse sont des terres de sorcellerie (Cf. Brocéliande) dont les landes sont surpeuplées la nuit de fées, de lutins et de sorcières.

"Des vérités éparses n'ont jamais fait la vérité. C'est même à partir de vérités éparses que se construisent les pires erreurs, ou, plus grave, les préjugés. Alors, tentons de remettre les choses à leur place".

Dans l'Antiquité, la prêtresse-magicienne la plus connue du monde antique est la Pythie de Delphes. Médée évoquait plus la fureur sanguinaire de la femme jalouse que la gentille magicienne. Mais il y a aussi Hécate et Circé.

Au Moyen-Age et d'une manière ironique, les sorcières ont peu brûlé, disons que l'Inquisition cherchait à savoir si elles constituaient un bon combustible ! Là commence une codification.

A la Renaissance, c'est l'Inquisition pure et dure : injustice, mauvaise foi, intolérance, délation, fabulations, superstitions, etc.

En effet, le 16ème siècle fût une pire époque d'obscurantisme, idem pour le 17ème, dixit Galilée, assigné à résidence pour avoir proclamé que la Terre tournait (et tourne toujours d'ailleurs !) autour du Soleil ! Sorcellerie ou vérité ?

Dans une multitude d'endroits, les bûchers brûleront encore jusqu'au 18ème siècle. Une période tumultueuse de l'Histoire de l'Humanité, trois cents ans de folie persécutrice, après cinq cents ans d'esclavage, le compte est bon !

Connaître ce qu'est réellement la sorcellerie c'est aussi vouloir comprendre l'aberration d'une telle persécution. "De l'Antiquité à nos jours, la sorcellerie en Occident revêt une multitude de visages, dont la sorcière constitue un phénomène particulier [...]". Du polythéisme ou monothéisme, "une modification importante s'est produite, où magie, religion et superstition ont vu leurs rapports se modifier. Des magiciennes de l'antiquité à la sorcière des Temps modernes, du glissement de la magie à la sorcellerie", la représentation de la sorcière dans la fiction use certes de stéréotypes (Cf. Hocus Pocus) pour signifier le fantastique et le merveilleux, mais s'ancre plus profondément dans une explication sociologique, à savoir la place de la femme au sein de la société moderne (Cf. Les sorcières d'Eastwick).

Concernant la magie et la sorcellerie, aujourd'hui, dans la réalité, il est en tout autrement... Et heureusement !

La wicca moderne : des sorcières indépendantes

La Wicca ou le wiccanisme est un mouvement spirituel et ésotérique (voire religieux) qui inclut des croyances telles que le chamanisme, l'animisme, le druidisme, souvent teinté de polythéisme (mythologies gréco-romaine, slave, celtique, nordique amérindienne, chinoise, japonaise).

Les Wiccans sont les adeptes qui prônent le culte de la nature, mère nourricière, Gaïa (Pachamama, Ixchel, Athéna, Aphrodite, Eros, Nyx, etc.), pratiquent, pour une grande partie, la magie et en font un quotidien dans leur vie courante.

La Wicca est un culte à mystères et voue également un culte à certains dieux : Hécate, déesse de la magie et de la lune, ou Circé, Gaïa, déesse de la nature, etc... Elle s'est surtout développée dans les pays anglo-saxons où elle constitue la principale forme de néopaganisme et s'inscrit dans un mouvement européen néo-paganiste de la première moitié du 20ème siècle. Dans un contexte de contre-culture des années 1970, la wicca est diffusée par les milieux féministes américains puis s'étend dans une dimension écologiste. Le mouvement wicca est reconnu comme une religion aux Etats-Unis, y compris dans l'armée, au Canada ainsi qu'au Royaume-Uni. Il existe plusieurs mouvements dont voici les principaux : 

La wicca gardnérienne : dont l'initiateur est Gerald Gardner : Witchcraft Today & The Meaning of Witchcraft, sont des livres respectivement publiés en 1954 et en 1959. Le Livre des Ombres est un ouvrage de référence de cette forme de wicca et chaque wiccan possède en théorie son propre Livre des Ombres. On y trouve les croyances, les rituels initiatiques ainsi que la tradition. Pratique très stricte qui nécessite d'être initié par la lignée des initiateurs et de faire partie d'un coven.

La wicca alexandrienne : deuxième branche de la wicca la plus connue, dont l'initiateur est Alex Sanders (1928-1988), surnommé le "Roi des Sorciers. Pratique beaucoup plus accessible au public.

La wicca éclectique : instiguée par Scott Cunningham dans son livre La wicca, guide de pratique individuelle. Pratiquée par les wiccans contemporains, qui sont aujourd'hui majoritaires et qui ne font partie d'aucun mouvement propre, le Livre des Ombres constituant un journal écrit ou compilé par l'adepte lui-même pour son seul usage. Pratique très ouverte pouvant s'inspirer aussi bien des textes wiccans que de traditions et mythologies diverses et variées. Dans la wicca éclectique, on pratique en solitaire et chaque adepte possède ses propres règles, par conséquent, il n'existe pas de hiérarchie traditionnelle (initié, prêtre, grand prêtre). La wicca éclectique permet de créer sa propre tradition en fonction de ses propres affinités spirituelles, de son propre ressenti, de ses préférences. La wicca éclectique est une pratique très peu contraignante, tant sur le plan spirituel qu'initiatique, le wiccan éclectique ne dépend d'aucun coven, garde sa totale liberté individuelle sur tous les aspects, ce qui fait de cette branche de la wicca, la plus populaire et la plus pratiquée.

La wicca de salon : pratique solitaire instiguée par Scott Cunningham. Généralement, les wiccans pratiquent chez eux, n'ayant pas la possibilité ou le désir de le faire dehors.

La Wicca est donc une mystique et le mysticisme est un domaine d'études qui développe les mystères et tout ce qui concerne les choses cachées et les secrets. Le terme "mystique" sert à qualifier une personne qui effectue des expériences qui sont de l'ordre du spirituel, engendrant un contact ou une communication avec une réalité transcendante (une autre réalité, d'autres plans d'existence), non discernable par le sens commun. Par conséquent, est mystique, celui ou celle qui s'affaire à la connaissance des mystères.

Les divinités de la Wicca

La majorité des wiccans vouent un culte à une double divinité représentée par une Grande déesse et un Dieu cornu, considérés comme des polarités complémentaires et l'incarnation des forces de la nature (ex : Ceridwenn & Cernunnos, Isis & Osiris, Odin & Frigg, etc.

La Déesse-Mère et la Lune

La Déesse-Mère symbolise l'énergie féminine, la nuit, la magie, l'eau, la terre, la fertilité, le chaudron, le pentagramme, la coupe, le miroir. Elle est associée à la lune, astre dominant dans la wicca et à ses quatre phases. Les wiccans parlent de la triple déesse (par exemple, le triskel représente la déesse Dana), dans le sens où des quatre phases de la lune, trois seulement sont visibles :

  • La lune montante représente la jeune fille
  • La pleine lune représente la mère
  • La lune décroissante représente la vieille femme
  • La lune noire (nouvelle lune) représente la mort.

 

Les symboles de la wicca

Dans la tradition wicca d'origine gardnérienne et alexandrienne, la Déesse possède toutes les connaissances y compris celle de la mort (Cf. Vassilissa et la sorcière Baba Yaga) et a séjourné au royaume de la mort (la représentation de la mort est masculine). Les wiccans voient dans la Mort une des manifestations du Dieu cornu (à ne pas confondre avec le démon de la religion chrétienne).

La philosophie wicca

Dans la Wicca, "Tout est Un" et donc le divin est partout, en toutes choses (Cf. animisme, shintoïsme). Dans la Wicca, tout doit être honoré, par conséquent, cette pratique prône avant tout la tolérance.

La philosophie est simple : "Fais ce qu'il te plaît tant que cela ne nuit à personne", autrement dit "Si nul n'est lésé, fais ce que tu veux".

Les wiccans s'appuient sur un principe de tolérance et sur le respect de la nature. La Wicca se revendique art de vivre en harmonie avec son environnement, prônant le respect de l'autre ainsi qu'une démarche de partage avec ce dernier. Les wiccans croient en l'existence de la magie, considérée comme "énergie cosmique" (énergie vitale) présente en chacun de nous et en chaque objet. L'autre principe prépondérant dans la Wicca est celui de la Loi du Triple Retour : tout ce que l'on fait sera rendu trois fois, peu importe qu'il soit positif ou négatif.

Les croyances & les fêtes

Les croyances

Elles sont nombreuses, peuvent prendre plusieurs formes et ainsi varier selon les adeptes.

L'existence de la polarité : la wicca postule que monde et la conscience universelle possèdent des polarités complémentaires (ex : principe Yin & Yang, arts martiaux, taoïsme, etc.).

Le polythéisme : les dieux et déesses sont invoqués lors des cérémonies wicannes et sont issus des différents mythologies. Il n'existe pas de panthéon dédié à la wicca. Ces différentes divinités représentent les aspects de la Déesse et du Dieu, eux-mêmes faisant partie intégrante d'une réalité plus vaste et intangible qu'ils appellent l'Un, le Divin ou l'Incréé ou l'Univers et l'Humain est englobé dans cette même réalité.

La règle du Triple Retour : certains wiccans croient au principe de cause à effet que ce soit dans cette vie ou une autre (principe d'interdépendance, battement d'aile du papillon), comme la loi du karma dans le bouddhisme ou le Wyrd qui est une représentation du destin dans la mythologie nordique. Concept également connu sous le nom de Loi de causalité ou Loi du boomerang.

La magie naturelle : consiste en la modification des énergies subtiles. Magie dont la manifestation la plus exemplaire et respectueuse est la magie de la Vie, manifestation du Divin. La magie peut aussi être dispensée par les entités divines.

Les symboles : portent eux aussi des énergies subtiles. Les wiccans attribuent une énergie spéciale aux couleurs, aux pierres précieuses et semi-précieuses, herbes, encens, potions, rituels, amulettes, enchantements, etc. 

Les énergies subtiles : elles proviennent des plans subtils et d'autres dimensions appelées densités : plan éthérique, plan astral, etc.

Les éléments : le feu, l'eau, la terre, l'air et l'esprit. Ces éléments sont ressentis comme ayant des propriétés mâles ou femelles, passives ou dominantes, positives ou négatives.

La réincarnation : les wiccans croient en la réincarnation. Certains pratiquants adoptent une mythologie nordique ou druidique (Sidh, Walhalla, etc.) pour évoquer l'après-mort. Des lieux qui seraient des lieux de repos, avant de passer à une autre incarnation.

Les symboles de la wicca

Les pratiques

Il n'existe pas de pratique spécifique à la wicca et cela varie selon la tradition des adeptes. Les rites se font en plein air, dans la nature, loin des regards. Le wiccan utilise parfois des accessoires (pentacle, athamé (poignard ou bâton utilisé lors des cérémonies et rites magiques), baguette, vêtements appropriés, etc.).

Certains pratiquent de manière épurée, l'essentiel étant d'être le plus à l'aise et en harmonie avec son environnement afin de pouvoir correctement canaliser les énergies lors des rites. Les bougies (parfois colorées rappelant les chakras) et les symboles des quatre éléments sont très souvent présents. Les sacrifices sont prohibés, quels qu'ils soient, car le wiccan travaille en accord avec la nature et autrui, envers qui il sait faire preuve d'un grand respect. Certains adeptes pratiquent même le végétarisme. Quelques offrandes sont faites aux divinités, celles-ci provenant de la nature : fleurs, herbes fraîches, eau, pomme de pin (qui rappelle la glande pinéale, autrement dit le Troisième œil), feuilles d'arbres pour les essences, etc.

Les fêtes

La wicca regroupe vingt-et-une réunions de coven, compilées sur un calendrier appelé la "Roue de l'année", permettant de célébrer la fluctuation des saisons. Ce calendrier prend en compte les cycles solaires et lunaires ainsi que ceux se rapportant à l'agriculture traditionnelle. Il peut être mixte ou non, affilié à un rite reconnu ou pas.

Un coven est un regroupement de wiccans qui se rassemblent pour célébrer les sabbats. Les wiccans éclectiques ne font partie d'aucun coven car ils pratiquent seuls, en dehors de toute hiérarchie et sans suivre de rite établi.

La roue de l'année est une hybridation de l'ancien calendrier des peuples germaniques et celtiques.

Le calendrier comporte huit fêtes, appelées esbats et sabbats (les fameuses réunions secrètes du folklore médiéval) qui rythment l'année wiccane. Elles permettent la célébration de la Nature et se déroulent souvent la nuit.

la Roue de l'année Wicca

Les quatre sabbats majeurs (ancien calendrier celte) :

Samhain : Nouvel An chez les Celtes. Samhain est une période de l'année où le voile entre les mondes est le plus fin. La wicca célèbre la mort du dieu. C'est également le début de la période sombre, une période où on doit se détacher du poids du passé et des souvenirs. Date : 31 octobre, jour consacré aux morts.

Imbolc : Aussi appelé Oimelc, terme d'origine gaélique signifiant "lait de brebis". La Déesse se remet de la naissance du Dieu. C'est un sabbat de purification et de prospérité, associé au lait et au feu. Le Dieu prend force et annonce le retour de la lumière. La tradition wiccane veut que le pratiquant mette une bougie à leur fenêtre le soir venu afin de saluer le retour de la lumière. Date : 1er ou 2 février, à Imbolc, on gagne une heure de soleil par rapport à Yule.

Beltane : Le Cornu a atteint l'âge d'homme. Il désire la Déesse et s'unit à elle. C'est un sabbat très important, qui s'oppose à Samhain. Cette date correspond aussi à la nuit de Walpurgis du folklore allemand et fait référence aux soi-disant "sabbats orgiaques" combattus par l'église chrétienne. Il s'agissait de fêtes traditionnelles célébrées par des feux et des unions sexuelles. Date : 1er mai.

Lugnasadh ou Lugnasad ou Lammas : C'est le moment des récoltes, de la cueillette et des réserves pour l'hiver. Date : 1er août.

Les quatre sabbats mineurs (ancien calendrier germanique) :

Yule ou Solstice d'hiver : La Déesse met au monde le Dieu cornu. C'est un sabbat associé à l'espoir, à la renaissance après la mort du passé. Date : 21 décembre, jour du solstice d'hiver.

Ostara ou Equinoxe de printemps : C'est un sabbat de croissance, tourné vers l'avenir. On sème, la nature se réveille (le Cornu grandit), c'est aussi l'équilibre des forces : le jour est égal à la nuit et on entre dans l'espace-temps du Dieu-Soleil, qui prend des forces chaque jour davantage. Date : 21 mars, jour de l'équinoxe de printemps.

Litha ou Solstice d'été : Célébration faite au Dieu-Soleil qui est à son apogée en allumant des feux. Date : 21 juin.

Mabon ou Equinoxe d'automne : Les jours raccourcissent, les forces du Dieu déclinent. C'est une période d'équilibre, notamment entre le jour et la nuit. C'est également un moment fait de méditations et de réflexions. C'est la mort du Dieu. Date : 21 septembre.

Les esbats

Les esbats correspondent au douze ou treize nuits annuelles de pleine lune. La Lune est le symbole de la Déesse et la pleine lune est le moment où celle-ci est dans sa plus grande puissance. Les esbats sont généralement consacrés à glorifier la déesse par des hymnes et des invocations.

Les rituels magiques et les pratiques méditatives

Magie active : les rituels magiques et les incantations, l'invocation des divinités, la lithothérapie et la phytothérapie, le Reiki.

Magie passive : clairvoyance et méditation.

Développement des capacités psychiques : la magicienne, possède le savoir des dimensions grâce à ses perceptions extra-sensorielles : intuition, empathie, télépathie, médiumnie et clairvoyance, claireaudience et télékinésie...

L'archétype de la femme sauvage : la femme est un être puissant et magique

Axe d'étude : Vassilissa et la sorcière Baba Yaga, conte russe, dont le personnage de la sorcière est issu de la mythologie slave. Une sorcière très connue et très redoutée notamment en Russie (Cf. le film John Wick, où le personnage principal, un tueur à gages est comparé à la Yaga, c'est dire qu'elle/il est terrible !).

La Baba Yaga est une figure féminine surnaturelle qui possède plusieurs facettes : symbolisant parfois une divinité chasseresse, voire une simple sorcière, elle possède une double fonction : elle est à la fois adversaire et donatrice, gardienne du royaume des morts et maîtresse de la forêt et des bêtes sauvages. A SUIVRE...

Une sorcière serait donc une femme habile à imaginer, à soumettre et à changer la réalité.

Sources :

  • Histoire de la sorcellerie - Colette Arnould - 1992, 2009, 2019
  • Le rétablissement de l'intuition en tant qu'initiation, La poupée dans la poche : Vassilissa la Sage in Femmes qui courent avec les loups : Histoires et mythes de l'archétype de la femme sauvage - Clarissa Pinkola Estés - 1992, 1995, 1996

 

Bibliographie sur la Wicca (non exhaustive) :

  • La Wicca - Scott Cunninghan - 1999
  • Le Livre des Ombres - Gerald Gardner - 2007

 

Voir également sur le blog de DJ Miss Phoebe :

Animisme & Chamanisme :

  • L'arbre de vie nordique
  • L'arbre de vie celtique
  • Le monde des Inuits
  • Le monde des songes
  • Le shintoïsme

 

La sociologie dans le paranormal

Les trois sagesses chinoises :

  • Le taoïsme
  • Le bouddhisme
  • Le confucianisme

 

Spiritualité & philosophie orientales, arts martiaux :

  • Yi Jing, le livre des changements
  • Les grandes figures du panthéon chinois
  • Mythologie japonaise
  • Contes & récits des arts martiaux de la Chine & du Japon
  • La Voie du guerrier zen

 

La Voie des Rêves :

  • Théories & points de vue, de Freud à Lacan en passant par Jung
  • Le rêve et ses fonctions
  • La saga Freddy Krueger : un véritable guide pour cauchemarder mais surtout pour rêver (analyses cinématographiques)
  • Dream Masters & Dream Warriors

 

La clinique des rêves :

  • Le rêve télépathique
  • Qu'est-ce que la télépathie ?

 

Analyses cinématographiques sur le blog de DJ Miss Phoebe :

  • Enter the Void de Gaspar Noé - 2010 - France
  • Les sorcières d'Eastwick de George Miller - 1987 - USA
  • Star Wars : Le Réveil de la force & Le dernier Jedi - Mais qu'est-ce que la force ?

 

Voir également :

Blueberry, l'expérience secrète de Jan Kounen - 2004 - France

La Roue de l'année Wicca
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